situation actuelle de la Coop des masques Bretonne et Solidaire.
Lien web :
Journal du 12/13 de France 3 Bretagne du 16 juillet 2022 en replay:
Au début du journal, puis à partir de la 4ème minute et 07 secondes:
https://france3-regions.
Pour passer vos commandes :
https://www.lacoopdesmasques.
Contact : 02 56 39 81 05
Nous comptons sur votre mobilisation pour nous aider à sauver la Coop des masques !
Solidairement.
Ouest–France 16–17 juillet 2022
Coup de chaud à la Coop des masques À Grâces (Côtes–d‘Armor), la Coop des masques bretonne et solidaire lance un appel à l‘aide face à sa situation économique délicate.
ORUS
Christophe Winckler (2e à gauche) et Patrick Guilleminot (à gauche), en compa gnie de la représentante du personnel et des sociétaires. PHOTO: QUEST–FRANCE
La Coop des masques bretonne et livrent–ils. Il faut déclencher le retour solidaire, à Grâces (Côtes–d‘Armor), des commandes pour poursuivre en activité depuis janvier 2021, pla– l‘activité. » Si les collectivités territo cée en redressement judiciaire en riales jouent plutôt le jeu, « les admi février 2022, lance un nouvel appel à nistrations de l‘État, elles, conti l‘aide. Depuis mars dernier, alors que nuent de s‘approvisionner en Chi le port du masque n‘est plus obliga– ne. » toire, les ventes sont en chute libre. Et de noter : « les hôpitaux, notre
Thomas Winckler, le président, et principale cible, représentent à pei Patrick Guilleminot, le directeur, en ne 10 % de notre chiffre d‘affaires. appellent « à la mobilisation, voire la Les besoins dans le secteur hospita solidarité » pour booster les com– lier sont tellement énormes qu‘on mandes. Le chiffre d‘affaires mensuel aurait besoin de 5 % du global des moyen de la Coop, avoisinant les commandes pour maintenir notre
300 000 € de novembre 2021 à activité ». février 2022, est descendu à Les responsables vont donc à nou 50 000 € ; « insuffisant pour mainte– veau mobiliser les collectivités territo nir l‘activité, même si les 14 salariés riales « pour nous permettre d‘élargir notre portefeuille de commande : Besoin de trésorerie
Et vont se rapprocher du préfet de Région, représentant de l‘État, Les pertes s‘élèvent à un million « pour sauver la Coop ». d‘euros. « Nous craignons de ne plus avoir de trésorerie en septembre,
Fabienne MENGUY.
Samedi 16 juillet 2022
Près de Guingamp, la Coop des Masques joue sa survie
Emmanuel Nen
appel à la mobilisation. Autre diffi
culté, la rude concurrence des Chi Placée en redressement judiciaire nois sur le marché des masques jusqu‘à fin août, la Coop des Mas– chirurgicaux : « À moins de trois ques, installée dans la zone industri– euros la boîte de 50, on n‘est pas ren elle de Grâces (22), près de table. On ne peut pas vendre à perte. Guingamp (22), depuis janvier 2021, il faudrait que l‘Union européenne est confrontée à « une chute brutale mette des barrières douanières sur et inattendue » des commandes, l‘importation de masques en prove après quatre premiers bons mois en nance de Chine ». 2022, qui ont permis de dégager de Les dirigeants de la Coop des Mas la trésorerie. « On était à 300 000 € ques s‘interrogent aussi sur le man de chiffre d‘affaires par mois, on est que de cohérence de l‘État. D‘un côté, tombé à 50 000 €. À ce rythme–là, la le gouvernement français, qui situation deviendra catastrophique pousse à la création d‘unités de pro à la rentrée de septembre », annonce duction au nom de la souveraineté Christophe Winckler, président du sanitaire, et de l‘autre, « des admi conseil d‘administration. La Coop nistrations qui dépendent de l‘État, des Masques a dû mettre en place un qui passent de grosses commandes dispositif de chômage partiel. avec la Chine. On va interpeller le pré
fet de Région sur ce sujet ». « On va interpeller le préfet de Région » Pour arriver à son équilibre financier, la start–up industrielle doit vendre 45 millions de masques chirurgicaux et FFP2 par an. Largement jouable, sauf que de nombreuses comman des font défaut. « Un certain nombre de nos 2 048 sociétaires ont apporté du capital, mais n‘ont pas passé la Le président du conseil d‘administration moindre commande », déplore de la Coop des Masques, Christophe Christophe Winckler, qui lance un Winckler. Photo Emmanuel Nen
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