Le Directeur Général du parti La République en Marche, Paul Midy, a travaillé pour McKinsey pendant sept ans

Peut être une image de texte qui dit ’SCANDALE EN MACRONIE A LA VEILLE DES ELECTIONS 893900000 000 euros 893 C'est le total de l'argent public versé depuis 2018 par Macron au cabinet de conseil Mc Kinsey pour des prestations fantômes.’

André Harzon a partagé une publication.

13 h 
Peut être une image de 1 personne et texte qui dit ’M. Arnaud BAZIN Président ( SENAT’

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Le scandale devenu la règle
L’anormal ou l’exception, sont devenus la règle et les affaires se suivent, inavouables, sans que le pouvoir ne tremble. Alstom : il ne se passe rien. Mac-Kinsey : la commission d’enquête du Sénat vient d’épingler le gouvernement, le parquet national ne suit pas, pas encore du moins. Les sommes sont pourtant astronomiques, dépensées pour des résultats ou des gestions dont le bénéfice n’est certes pas au profit du peuple. 893 millions d’euros en 2021, une journée de travail entre 1528€ et 3000€. Le SMIC est autour de 1000 euros mensuels. La réforme des APL, facturée 4 millions d’euros, l’avenir du métier d’enseignant : 496 000 €, la campagne de vaccination mensongère et sans fondement scientifique : 12, 3 millions. Il faut le rappeler, Fabius fils est chez Mac-Kinsey et Fabius père, président du Conseil Constitutionnel. Ce dernier a validé une loi sur le passe-vaccinal, dont il a admis l’inconstitutionnalité quelques jours plus tard. Le Sénat s’inquiète de la place grandissante de ces cabinets dans la vie publique et Macron justifie, confirmant ainsi que les ministres ne servent à rien, les « conseilleurs » sont à la manœuvre. Au-delà du scandale financier, il y a l’indignation morale : à quoi servent nos élus et nos fonctionnaires, si une boîte privée préside, avec des intérêts qui lui sont propres et donc antagonistes à ceux de la nation. Cette politique, placée sous le sceau du « Secret défense », n’est qu’un transfert d’argent public masqué, vers des intérêts privés. Le Sénat vient de saisir le procureur général contre Mc-Kinsey et cet événement aurait dû entraîner la chute du gouvernement et le retrait de candidature du président sortant. Mais nous ne sommes plus dans la droiture gaulliste du président mis en minorité et qui se retire avec panache. Macron, malgré les scandales, reste fidèle à sa dialectique, devenue mondialement célèbre : il « nous emmerde ». Il doit être éjecté dès le premier tour.
Par Gilles La-Carbona : secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français chargé du suivi de la vie parlementaire.

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